La Lettre du cinéma (Entretien)
Avec le recul que vous donnent vos trente-cinq ans d’expérience et de pratique du cinéma documentaire, vous rassemblez aujourd’hui votre démarche en une double formule : cruauté de l’observation, tendresse du regard.
Comment articulez-vous ces deux notions et depuis quand vous semblent-elles être le reflet de votre cinéma ?
Le plus simple, peut-être, est de partir du film où j’ai expérimenté ou ressenti le plus cette « cruauté de l’observation » et cette « tendresse du regard », bien que cette formulation soit venue bien plus tard, évidemment. Continuer la lecture de « La Lettre du cinéma (Entretien) »